Compte rendu de la présentation par l'AFNOR de son étude sur la psychothérapie (6/07/99)

L’AFNOR a mené une étude préalable. Les personnes qui l'ont réalisée ne sont pas spécialistes en psychiatrie, psychothérapie, psychologie.
La question de départ était : est-ce qu’il y aurait un accord pour mener une normalisation ?

La psychothérapie intéresse de nombreux acteurs :

Les associations de consommateurs :

Des associations connues par des liens particuliers qui se sont déclarées ouvertes pour en parler.

Deux types de besoins : besoin de transparence pour des profanes

Qu’est-ce que la psychothérapie. Quelles sont ses méthodes ?

Quelles sont les interventions dont a besoin un " client " ?

Actuellement les verrous sont l’exercice illégal de la médecine. S’interroge sur l’opportunité de mettre un peu d’ordre.

Les besoins des consommateurs sont :

Mais ne pas trop restreindre la diversité.

Quelle garantie ? avec 2 dangers

Conseil de l'Ordre

Toutefois, des jugements ont été rendus : des non médecins n’ont pas été condamnés.

Les psychiatres

La Psychothérapie est un outil médical parmi d’autres avec beaucoup de modalités différentes.

Non opposés à des psychothérapies par des non-médecins mais hostiles à créer des professionnels seulement psychothérapeutes.

Cependant un médecin psychothérapeute est différent d’un non-médecin psychothérapeute :

- donc normalisation inacceptable ;

- favorable à plus de transparence.

Les psychologues

- L’activité psychothérapique est une des spécialisations possibles des psychologues.

- Cette spécialisation nécessite un cursus d’études mais aussi notion de thérapie personnelle (non obligatoire) plus supervision

- Dans les établissements publics, leur activité médicale est sous contrôle médical

- Opposé à métier de psychothérapeute.

Les psychanalystes

Les "psychothérapeutes"

rassemblés au sein de la FFdp

 

Conclusions et perspectives

Pour l’AFNOR, 3 scénari possibles

Pas d’accord possible sur la profession de psychothérapeute.

Peut-on dire qu’il y a une psychothérapie hors du champ médical ?

Informer le consommateur semble répondre à un besoin important. Scénario possible qu’il soit repris par les professionnels.

(Notes JM. Thurin)